La nouvelle livraison de l’étude Erpurs (évaluation des risques de la pollution urbaine sur la santé) confirme les résultats des précédents travaux : les épisodes de pollution atmosphérique en Ile-de-France s’accompagnent d’une augmentation de la morbidité et de la mortalité. Ainsi, le passage d’un niveau de pollution de base (non dépassé au cours des 18 jours les moins pollués de l’année) à un niveau médian (atteint ou dépassé la moitié des jours de l’année) coïncide avec une hausse de 7,9 % des hospitalisations pour asthme des moins de 15 ans (en rapport avec le dioxyde d’azote), de 5,1 % pour les hospitalisations pour maladies respiratoires des moins de 15 ans (en rapport avec les particules fines) et de 4,7 pour la mortalité pour causes ...
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