Le risque de développer un cancer est 2,3 fois plus élevé parmi les voisins d’un incinérateur de déchets émettant beaucoup de dioxines qu’au sein de la population « témoin », selon une étude menée à Besançon par le Pr Jean-François Viel et publiée dans l’édition de juillet de la revue américaine Epidemiology. Focalisés sur les zones précises des retombées atmosphériques de dioxines, ces travaux approfondissent les résultats publiés en 2000 par la même équipe, qui révélaient un nombre de cas de cancers supérieur à la normale autour de l’usine d’incinération d’ordures ménagères (UIOM). Cette dernière a depuis été mise aux normes et ses rejets ont été divisés par cent, précise la mairie. La modernisation du parc français a fait tomber ...
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