Le ministre de l’Education nationale Gilles de Robien a affirmé le 21 mai sur Europe 1 que les dégâts liés au mouvement contre le CPE dans les universités avaient été évalués à « au moins trois millions d’euros », que celles-ci prendront intégralement en charge.
« En gros, ça fait au moins 3 millions d’euros aujourd’hui », a-t-il expliqué. « On connaîtra le coût quand les réparations entières seront faites mais c’est un coût relativement important qui sera pris en charge par les universités et donc qui ne viendra pas grever le budget des études supérieures ».
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