Installé le 23 avril 2013, le comité national de suivi de la réforme des rythmes scolaires comprend trois représentants des collectivités territoriales. Les divergences en sont-elles taries pour autant ? Certes non ! Interrogé au cours d’une table-ronde sur la façon dont le projet de loi sur la refondation de l’école reconnaît l’action des collectivités territoriales en matière d’éducation au travers du Projet éducatif territorial, Vanick Berbérian, président de l’association des maires ruraux de France s’est tout d’abord dit « gêné » par la « dimension facultative » induite par l’expression « collectivités volontaires » du texte (la mise en place d’un projet éducatif territorial n’est pas une obligation légale). « Les collectivités ont l’habitude de voir l’Etat se défausser sur elles ...
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