« Ce n’est pas seulement là où les prix de l’immobilier sont élevés que se situe le mal-logement. Dans les villes aux marchés détendus, 27 % des ménages disent avoir des difficultés à payer leur loyer, contre 5 % à Paris », résume Patrick Doutreligne, délégué général de la Fondation Abbé Pierre.
Selon une enquête récente de l’Union nationale des centres communaux d’action sociale, le taux de non-réponse pour les demandes d’hébergement s’est par ailleurs fortement accentué en milieu rural.
Fortes disparités – « L’indicateur de zone tendue ou détendue en matière d’immobilier est donc insuffisant pour éclairer les difficultés des territoires », conclut Christophe Robert, directeur des études à la fondation.
Pour exemple, la crise du logement est généralement associée aux ...
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