«Une garde à vue inacceptable», selon l’Association nationale des assistants de service social. L’Anas a dénoncé les agissements de la police des frontières à Belfort (Territoire-de-Belfort), où, le 17 juillet, une assistante sociale de l’association «Solidarité femmes», Catherine Bernard, avait été interrogée et placée en garde à vue.
«Il lui était reproché de ne pas avoir donné l’adresse d’une femme ne possédant plus de titre de séjour mise à l’abri par l’association. Madame Bernard a spécifié qu’elle ne pouvait donner ces éléments car elle est soumise au secret professionnel. En répondant à la demande des policiers, elle aurait commis un délit !» relate l’Anas. Or, cette professionnelle risque aujourd’hui d’être ...
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