Antoine Jouenne, Coprésident de la commission Education de l'AMF et adjoint (PS)
à la maire de Châtillon Ville de Châtillon
L’Association des maires de France (AMF) demande au gouvernement d’évaluer l’impact financier des propositions de la Convention citoyenne sur les temps de l’enfant, dont la plus emblématique est d’instaurer une semaine d’école sur cinq jours pleins, du lundi au vendredi. Coprésident de la commission Education et adjoint (PS) à la maire de Châtillon (Hauts-de-Seine), Antoine Jouenne met aussi en garde l’exécutif contre le risque d’échec s’il n’associe pas les collectivités à ses réflexions.
Ma Gazette
Sélectionnez vos thèmes et créez votre newsletter personnalisée
Tout en saluant les travaux de la Convention citoyenne sur les temps de l’enfant, l’Association des maires de France (AMF) insiste sur les conséquences financières de ses propositions : est-ce un « Oui, mais » ?
C’est un oui au travail, très intéressant, réalisé par cette Convention. Pour autant, on réclame une étude sur l’impact pour les collectivités d’une mise en œuvre de tout ou partie des vingt propositions. Car la majorité d’entre elles nous affectent d’une manière ou d’une autre. Auditionné au nom de l’AMF en octobre, j’ai mis les pieds dans le plat en abordant la question budgétaire, et certains citoyens ont réagi assez vivement, en précisant qu’il leur avait été demandé de ne pas se concentrer sur cet aspect. Mais sans chiffrage, on ne peut aboutir à un projet ...
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Éducation et vie scolaire
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Education et Vie scolaire pendant 15 jours
Convention citoyenne sur les temps de l’enfant : « Sans chiffrage, on ne peut aboutir à un projet qui tienne la route »
Les informations à caractère personnel recueillies font l’objet d’un traitement par La Gazette des Communes du Groupe Moniteur S.A.S, RCS Créteil 403 080 823. Elles sont uniquement nécessaires à la gestion de votre commentaire à cet article et sont enregistrées dans nos fichiers. Pour exercer vos droits, vous y opposer ou pour en savoir plus : Charte des données personnelles.
