L’enseignement catholique accuse, dans Les Echos, les collectivités de ne pas respecter leurs obligations de financement des écoles et établissements scolaires privés sous contrat (voir plus bas), et ainsi d’enfreindre la loi Debré de 1959. Que lui répondez-vous ?
Que nous sommes en colère. On a l’impression d’être face à un enfant qui a grandi avec une cuillère en argent dans la bouche. Or, l’enseignement catholique ne peut considérer la loi Debré uniquement comme une manne financière, alors que, de son côté, l’école publique souffre d’un sous-financement. Les collectivités locales contribuent, c’est exact, de manière inégale aux écoles et établissements scolaires privés sous contrat de leurs territoires. Cela correspond à des choix politiques et relève du principe de libre ...
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Éducation et vie scolaire
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Education et Vie scolaire pendant 15 jours
J’en profiteThèmes abordés



