« Une récente étude de France Terre d’Asile estime à 3 milliards d’euros le coût du non-accueil des migrants en France. Il n’y a pas de cohérence à cette politique », estime Nicolas Mazard, chargé de plaidoyer à l’Association nationale des villes et territoires accueillants (Anvita). Créée en 2018 par neuf villes fondatrices, l’association rassemble aujourd’hui 90 collectivités locales, urbaines et rurales, dont l’objectif est de partager leurs expériences pour mettre en place un accueil digne des personnes migrantes.
« Il y a une défaillance de l’État, pointe Nicolas Mazard. Donc ce sont les associations qui portent cet effort d’accueil mais elles sont désormais dépassées. Il est nécessaire d’avoir un autre acteur et les ...
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