Il s’agit d’une mesure phare du programme éducatif d’Emmanuel Macron: dédoubler les classes de CP et de CE1 des réseaux d’éducation prioritaire (REP et REP+) d’ici à 2019. Si les communes n’ont eu que quelques semaines pour dédoubler les classes de CP en réseau d’éducation prioritaire renforcé (REP+), elles ont su relever le défi sans heurts. Dans sa conférence de presse de rentrée, Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Education nationale, a salué l’effort des maires. En effet, 86% des 2 500 classes de CP concernées par la mesure en 2017 ont un effectif de 12 élèves. Seules 14% des classes se voient attribuer deux enseignants.
Les bouchées doubles durant l’été
Malgré l’échéance extrêmement proche, il n’y a pas eu de levée de boucliers des édiles. « C’est une mesure assez consensuelle, convient Rozenn Merrien, présidente de l’Association nationale des directeurs de l’éducation des villes (Andev). Les enseignants concernés ont un ressenti plutôt positif, les familles ...
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