La question du suicide, mise en avant durant cette année où la santé mentale est grande cause nationale, peut impacter directement les élus locaux et les agents des collectivités. Dans les petites communes en particulier, ils peuvent connaître le disparu, et son geste tragique peut bouleverser ses proches et ses voisins. En outre une partie de ces passages à l’acte se déroulent dans l’espace public.
« Quand il y a un suicide dans un village, le maire est parfois le premier sur place », souligne Thomas Delbarre, chargée de la communication autour du numéro national de prévention du suicide 3114, qui pilote l’opération « Septembre jaune ». Les élus locaux « sont très démunis », observe Nathalie Pauwels, consultante et chargée du déploiement national du programme Papageno de prévention des ...
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Gazette des Communes, Club Santé Social
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- Le dossier du 3114 à destination des élus
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