« Des élus de territoires nous disaient parfois : “Votre label est prévu pour les villes, vous n’aimez pas les villages” », se souvient Pierre-Olivier Lefebvre, délégué général du réseau francophone des Villes amies des aînés (RFVAA). La version initiale de la démarche comprend en effet quelque 110 critères de référencement et « demande un travail important d’élaboration du diagnostic de territoire et de collecte de données », poursuit-il. Et les communes les plus petites le trouvaient contraignant, au regard des moyens humains et financiers très limités qu’elles pouvaient mobiliser sur cette ingénierie.
Dans la version initiale du label, par exemple, des tiers doivent animer la démarche participative, et non les élus, alors que beaucoup de villages ne disposent pas du personnel compétent ...
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Gazette des Communes, Club Santé Social
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