A l’Union nationale des centres communaux d’action sociale (Unccas), l’information n’est parvenue que le 28 avril, à travers une interview publiée par la Gazette des communes.
Le maire de Charleville-Mezières Boris Ravignon (LR), missionné pour proposer au gouvernement des simplifications en faveur des collectivités locales, y défendait notamment cette « mesure-clé » : supprimer l’obligation de créer un centre communal d’action sociale (CCAS) pour les villes de plus de 1 500 habitants, qui y sont encore soumises aujourd’hui – – la loi Notre de 2015 les ayant déjà rendu facultatifs en dessous de 1 500 habitants.
Cette contrainte « n’est pas logique », y argumentait l’élu ardennais. A ses yeux, un CCAS « apporte peu d’avantages concrets, en dehors d’une structuration ...
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