« Tu casses, tu répares ; tu salis, tu nettoies ; tu défies l’autorité, on t’apprend à la respecter. » La formule lancée en janvier 2024 par Gabriel Attal, alors Premier ministre, a été rappelée à l’Assemblée nationale, le 12 février, à l’ouverture des débats sur sa proposition de loi « visant à restaurer l’autorité de la justice à l’égard des mineurs délinquants et de leurs parents ».
Son texte, soutenu par le gouvernement et désormais adopté par les députés, est arrivé sur le bureau du Sénat, qui devra le discuter en première lecture à partir du 25 mars. Mais à côté de cette proposition de loi s’empilent, déjà, plusieurs argumentaires hostiles de militants de la protection de l’enfance.
Deux orientations « problématiques »
Il est vrai que la proposition de ...
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