Ils étaient quinze devant le tribunal administratif de Rennes mardi 3 septembre, convoqués suite à un déféré préfectoral demandant l’annulation des arrêtés votés par leurs conseils municipaux en juin dernier. Une quinzaine d’autres comparaîtront jeudi 12 septembre, parmi les 54 maires costarmoricains qui ont pris un arrêté « répondant aux troubles à l’ordre public suscités par une offre sanitaire manifestement insuffisante pour garantir l’égalité d’accès aux soins de leurs administrés ». La préfecture des Côtes-d’Armor ayant réagi fin août, les arrêtés pris début juin ne sont plus attaquables.
Incompétence des maires
Considérant les carences de la politique de santé sur leur territoire, notamment à l’hôpital public, ces maires mettent en demeure ...
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