« Bercy sacrifie l’héritage des Jeux », lance Patrick Appéré, le président de l’Association nationale des élus en charge du sport (Andes). « C’est un incompréhensible sabotage des politiques sportives territoriales », renchérit Vincent Saulnier, le secrétaire général.
A quelques jours de l’ouverture des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, l’association aux 8 000 collectivités adhérentes dénonce ainsi « le gel » (dixit ce dernier), « de 50 % des crédits dédiés aux équipements sportifs structurants, pour cette année 2024, dans une enveloppe initiale de 50 M€. Et donc un effet direct sur la construction ou la rénovation des piscines, gymnases et encore les terrains synthétiques. Ce nouveau coup de rabot constitue un très mauvais signal ».
« Nouveau » ? L’élu mayennais fait ...
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