« Cette réforme (déployée depuis 2009, ndlr) bouscule tout le monde, associations, services de l’Etat, bailleurs sociaux, dans nos habitudes collectives », a déclaré M. Apparu. « Certains trouvent parfois qu’elle va trop vite et que ce travail à marche forcée est un risque pour sa réussite (…) Je suis convaincu de l’inverse. Pour moi, nous n’allons pas assez vite » pour « changer la vie » des personnes sans domicile, a-t-il ajouté.
Grogne des professionnels – Ces assises, organisées le 9 décembre 2011 à l’Assemblée nationale, doivent permettre de « passer de la théorie à la pratique », a-t-il encore dit. Il a assuré qu' »il n’y aura pas de ...
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