Une cellule d’écoute psychologique, c’est le dispositif créé par les deux réseaux de santé mentale du bassin alésien (Gard) lors du premier confinement, en mars 2020. Là, comme ailleurs, l’anxiété a gagné chacun et éprouvé les plus fragiles, entraînant un repli sur soi, ou des tensions, et pour les jeunes, du décrochage scolaire.
Accessible via un numéro vert de la Croix-Rouge de fin mars à fin juin 2020, la cellule d’écoute se composait de psychologues cliniciens libéraux, en mesure d’orienter les appelants vers une prise en charge sur le territoire. Si elle n’a servi, in fine, que pour quelques dizaines de personnes, « parce que des numéros régionaux et nationaux ont pris le relais », selon Noémi Bonifas Corriol, coordinatrice des réseaux, elle a mis en lumière la capacité d’adaptation ...
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