Des files d’attente qui n’en finissent pas, composées de personnes jusque-là inconnues des associations qui distribuent l’aide alimentaire : c’est certainement une des images fortes – non-médicales – de la pandémie de Covid-19 en France. Des jeunes, des salariés précaires qui ne pouvaient plus enchaîner les contrats courts… Ils sont nombreux à avoir demandé une aide alimentaire.
« Nous avons 25% de personnes en plus qui ont besoin des maraudes de nuit », a ainsi expliqué Patrice Douret, président des Restos du Cœur, lors du forum “Renouveler les solidarités en faveur des plus vulnérables et des jeunes”, le 17 novembre au Congrès des maires. Des personnes qui ont un domicile mais n’ont plus les moyens de se ...
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