Une étude du ministère de l’Agriculture et de l’alimentation, issue du conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux, confirme qu’une majorité des élus a réalisé l’expérimentation du repas végétarien hebdomadaire préconisée par la loi « Egalim ». Pour autant faut-il que cette option s’applique au quotidien, comme le propose la Convention citoyenne pour le Climat ? Les arguments écologiques sont nombreux (1).
L’Anses a été saisie d’une étude afin de déterminer s’il y avait une contre-indication du point de vue sanitaire. En attendant, le plat sans viande est devenu un support de campagne, comme ce fut le cas de Lyon qui a décidé de le servir en plat unique pendant la crise sanitaire. L’AMF s’est inquiétée, pour sa part, de nouvelles contraintes que l’on pourrait imposer aux maires, en plus de celles de la loi« Egalim » : « Si on leur impose deux repas au quotidien, nombre d’entre eux (…) opteront pour des produits industriels sur l’un des deux menus et on sera tous perdants, y compris sur le volet « environnemental »» a déclaré Gilles Pérole, adjoint au maire de Mouans-Sartoux (9 900 hab., Alpes-Maritimes) et référent « restauration scolaire » à l’AMF (« 20 Minutes », le 17 mars).
Différentes façons d’atteindre l’équilibre nutritionnel
Le CNRC planche actuellement sur une mise à jour de l’arrêté du 30 septembre 2011, relatif à la qualité nutritionnelle des repas dans la restauration scolaire. « Notre but est de concevoir un guide pour les ...
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