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Un réseau de chaleur par géothermie alimente depuis 2017, entre autres, les logements de la copropriété en difficulté de Grigny II, démontrant qu’un projet écologique peut aussi être social.
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La géothermie, terre promise des énergies renouvelables
« Pour ne pas faire de la question écologique une nouvelle source de fracture sociale, la ville a choisi de développer son propre réseau public de chaleur pour qu’il bénéficie à tous et pour lutter contre la précarité énergétique », pose Philippe Rio, maire de Grigny, dans l’Essonne. L’aventure a débuté en 2012 alors que la copropriété dégradée de Grigny II (1), composée de 104 bâtiments et 5 200 logements se trouve dans l’impossibilité de payer la dette du fournisseur d’énergie privé.
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