Centres de préparation aux Jeux (CPJ) : ces sites qui permettent aux collectivités d’accueillir des délégations étrangères en amont des Jeux olympiques fascinent. « Tout le monde veut son CPJ », souligne Thierry Rey, conseiller spécial au sein du Comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques (Cojo).
Ces bases arrière constituent en effet une excellente opportunité pour les territoires qui n’ont pas de site olympique de toucher du doigt les cinq anneaux. Raison pour laquelle, dans la foulée du 13 septembre 2017, date à laquelle Paris a obtenu les Jeux de 2024, « il y a eu une forme d’euphorie dans les territoires », reconnaît Roselyne Bienvenu, vice-présidente chargée des sports de la région Pays-de-la-Loire. A tel point que le Cojo, alors à peine créé, s’est retrouvé submergé ...
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