Marc Andreu
Malgré les objectifs à 2019 du PNSE 3, la prévention des allergènes n’est pas forcément intégrée dans les espaces verts, explique l’Association des pollinariums sentinelles de France. La surveillance aussi est en cours de développement, avec de grosses lacunes en Outre-mer.
Ma Gazette
Sélectionnez vos thèmes et créez votre newsletter personnalisée
Une personne sur quatre souffre d’allergie respiratoire, principalement des urbains. D’où l’intérêt des paysagistes et jardiniers des collectivités à se former aux allergènes des essences d’arbres et espèces de graminées, dans l’aménagement et l’entretien des espaces verts. « Cette prévention n’est pas forcément intégrée » selon Bruno Sablé, président de l’Association des pollinariums sentinelles de France. Pas si simple quand on sait que ces risques diffèrent d’une région à l’autre, selon la météo et évoluent d’une année sur l’autre du fait de la ...