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Dépendance

Des professionnels proposent un autre débat

Publié le 09/12/2010 • Par Hélène Girard • dans : Actu expert santé social, France

Réunis en collectif, plusieurs professionnels du secteur de l’aide aux personnes dépendantes ont appelé le 8 décembre à une nouvelle approche de la dépendance.

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« Pour une société de tous les âges » – nom du collectif et de leur manifeste – affirme qu’il ne s’agit, à la base, ni d’une question d’argent ni d’une question d’âge, et réclame que cesse l’approche purement comptable de la dépendance.

« La question fondamentale est : que veut-on faire ? La question financière vient seulement après », plaide par exemple Sylvain Denis, vice-président du Conseil national des retraités et des personnes âgées (CNRPA).
« Il faut d’abord savoir ce que l’on veut financer. Et ça, cela implique des choix politiques dont il faut débattre », insiste pour sa part Bernard Ennuyer, directeur d’une structure d’aide à domicile.

Et au cœur du débat se trouve la question du projet de vie des personnes dépendantes et leur pleine intégration dans la société, ce qui, pour ...

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Des professionnels proposent un autre débat

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Michat101112

12/12/2010 09h28

Initiative très opportune. Il est temps de débattre du projet de vie pour les personnes âgées et d’y faire adhérer les citoyens (nes). Nous sommes tous (tes) concernés comme PA en devenir. Nous constatons au quotidien les problèmes que pose le grand âge : aux aidants proches quand il y en a, aux services à la personnes ou médicaux, aux services collectifs (maisons de retraites, foyers logemebnts, hôpitaux…) . Et la situation de dépendance totale dans laquelle sont confinées les personnes sans entourage proche et aux faibles ressources..
Sachant le temps politique, administratif et financier nécessire pour faire avancer des projets en France, il est grand temps de débattre réellement
pour décider pour demain . MICHAT

ALIMAS

13/12/2010 09h41

(09A229A01). QUELLE EST LA MEILLEURE FAÇON DE BIEN VIEILLIR ? Il est des sujets de réflexion qui ne peuvent s’affranchir de développement. C’est pour les dépendants actuels et ceux à venir que la dépendance est à craindre ! Nous espérons tous mourir le plus tard possible et en bonne santé (encore que mourir en mauvaise santé pourrait nous laisser moins de regrets … !). Quelles inquiétudes peuvent nous laisser augurer une vieillesse difficile ? Quelles conséquences sociales et humaines dues aux victoires futures sur les maladies neuraux-dégénératives telle que celle d’Alzheimer ? Nos enfants et petits-enfants accepteront-ils de subvenir, au prix de quels sacrifices sociaux et familiaux, aux dizaines puis aux centaines de milliers d’hommes et de femmes de plus en plus âgés, de plus en plus dépendants mais aussi de plus en plus résistants et qui ne travailleront plus depuis près d’un demi-siècle ? Dans un dernier sondage (Source : Société Civile N°77, Février 2008, page 21), effectué auprès des jeunes de 16 à 29 ans au niveau mondial, les jeunes Français sont de loin les moins enclins à payer des cotisations pour les personnes âgées. Cela en dit long sur le principe de Solidarité, d’Équité et de Réciprocité, qui lie soi-disant nos générations, et sur l’impasse dans laquelle sont arrivés nos systèmes de retraite par répartition et protection sociale.

(09A229A02). LES PERSONNES FONT TOUT ET ONT TOUT POUR OCCULTER LEUR CONDITION DE MORTEL. Quand la maladie et ou la dépendance surgissent, c’est brutal. Elles sont prises au dépourvu parce qu’elles pensent à la vie sans penser à leur vieillesse et à leur mort. Notre vieillesse est en partie liée à notre capacité à anticiper, à nous préserver, à nous soigner. Nous devons admettre que nous ne sommes pas égaux face à la maladie, à la vieillesse, à la dépendance. ON A LA VIEILLESSE DE SA SANTÉ, DE SES MOYENS ET DE SA FAMILLE. Il faut une solidarité humaine, équitable avec ou sans réciprocité, qui s’ajoute ou se substitue à l’incapacité durable ou temporaire de veiller soi-même à conserver une bonne santé et une indépendance.

(09A229A03). EN CONCLUSION, À QUOI ET À QUI CELA SERT-IL DE VIVRE PLUS LONGTEMPS ? Si on a une mémoire défaillante et une mauvaise qualité de vie telle que celle faite aux personnes âgées dans certaines familles et ou institutions de retraite ou elles sont condamnées à la privation de liberté, à l’humiliation continue, à l’indignité, à l’insalubrité et à la violence. Au fond, en France, on vieillit plus longtemps parce que notre médecine est bonne et que les facteurs climatiques, économiques, sociologiques, financiers et culturels favorisent la longévité, mais on n’est pas heureux de vieillir ! On a le sentiment que les gens vieillissent malgré eux ! Regardez la façon dont notre pays a traité le lundi de Pentecôte ! C’est scandaleux ! Ce manque de courage des politiques, des syndicats, des familles !
Lecture conseillée : «La chaleur du cœur empêche nos corps de vieillir» ou vieillir sans être vieux, de Marie de HENNEZEL, édition Robert Laffont. (Note : Pour être moins fleur bleu, j’aurais mieux aimé comme titre «la force de vivre empêche notre esprit de rouiller mais pas notre corps de dérouiller».
Interwiew d’Alain MINC : http://inventerre.canalblog.com/archives/2010/05/10/17844070.html.

(09A229A04). LES INSTITUTIONS DE RETRAITE DOIVENT-ELLE SE SUBSTITUER AUX CARENCES ÉCONOMIQUES, FINANCIÈRES, SOCIALES, FAMILIALES, ETC. …? La vieillesse n’est pas une maladie ! Faut-il interrompre où laisser continuer une vie quand l’activité physique, mentale, sociale, est égale ou tend vers zéro ? Une institution de retraite est confrontée au concret, réel, possible. Il est indispensable de faire rentrer dans les maisons de retraite, les techniques, technologies et méthodologies substitutives et productives, permettant de libérer en temps et en nombre, le personnel concerné, pour le replacer au service direct du client, de l’usager, du patient, du dépendant.

(09A229A05). LA RÉSISTANCE D’UNE CHAÎNE SE MESURE À LA RÉSISTANCE DE SON MAILLON LE PLUS FAIBLE. Le nombre d’intervenants et la part de travail de chacun dans une chaîne d’activités, amènent à construire et assurer la qualité globale de cohésion des maillons. Pour exemple, à l’encontre du monde industriel, la fonction hospitalière s’est restructurée en divisant les tâches. La polyvalence des personnes leur est apparue comme néfaste à leurs statuts et acquis sociaux. Les activités autres que techniques mais tout aussi importantes (telle que le nursing effectué jusqu’ici par les infirmières), sont purement et simplement supprimées ou déplacées sur d’autres métiers «moins nobles» tel que les aides-soignantes et agents hospitaliers.

(09A229A06). LA SECTORISATION, PARCELLISATION ET SÉPARATION DES TÂCHES, ONT AUGMENTÉ LES RISQUES D’IRRESPONSABILITÉ. À l’hôpital, la Loi des 35 heures dite loi AUBRY, a généré une carence de la Qualité globale de la chaîne de santé. Cette idéologie de travailler moins pour chacun et partager le travail sur un plus grand nombre, a généré l’inacceptable à savoir : L’inhumanité, l’indifférence, l’irresponsabilité de chacun au détriment du plus grand nombre de patients et usagers du service public. Une chaîne de santé ne se partage pas, elle se répartit selon les nécessités et potentialités.

(09A229A07). DE LA QUALITÉ DU TRAVAIL DE CHACUN DÉPEND LA QUALITÉ FINALE DU BIEN-ÊTRE DU PLUS GRAND NOMBRE. En mécanique, on apprend que plus l’on ajoute de maillons dans une chaîne et plus l’on doit resserrer la tolérance de chacun, sans changer la tolérance finale. Sachant que la résistance d’une chaîne se mesure à la résistance de son maillon le plus faible, la construction de la qualité globale qui en résulte, nécessite une très grande rigueur de l’organisation et de l’assurance de la qualité de chaque maillon.

(09A229A08). MÉDECIN, PERSONNEL DE SOINS, PERSONNEL HOSPITALIER ! Ils se déclarent en nombre insuffisant ou ayant trop de travail ! Ils disent ne pas avoir le temps de bien le faire voire seulement de le faire. Le sempiternel leitmotiv des (3PTPM) : Pas de Temps, Pas de Personnel, Pas de Moyens ! On devrait pouvoir faire appel à un système de (SRS) : Solidarité et Réciprocité Sociale, au moins pour les tâches de nursing répétitives et quotidiennes. Les personnes en capacité, bénéficiant ou ayant bénéficié d’entraides sociales sous condition de réciprocité, pourraient aider à bien des actes de nursing et de bien-être à l’hôpital, dans les maisons de retraites ou tout autre activité sociale. J’ai écrit un recueil de réclamations, pendant les trois dernières années de vie de mon épouse, au service long séjour l’Amandier, de l’hôpital d’Argenteuil. Un véritable naufrage !

(09A229A09). LES MÉDECINS HOSPITALIERS PRESCRIVENT DES TRAITEMENTS LONGS, DOULOUREUX ET COÛTEUX. Ces traitements pourraient ne pas être prescrits, si les médecins et personnel acceptaient l’intervention du monde extérieur non statutaire, pour aider les personnes ne pouvant se débrouiller seules, mais capables de marcher, de manger, d’aller aux toilettes, de se laver les dents après un repas, etc. …, si des accompagnants les aidaient et les soutenaient. Dans le même temps, les services sont fermés pour cause de surcharge de travail non assuré par des personnels statutaires, ou de dépassement budgétaire !

(09A229A10). LES INACTIFS AU CHÔMAGE, POURRAIENT METTRE À DISPOSITION DU TEMPS DE RÉCIPROCITÉ SOCIALE. Il ne vient à l’esprit d’aucun responsable des fonctions politiques et publiques, que dans la société civile, il existe des centaines de milliers de personnes au chômage ! Ces personnes sont payées par la collectivité ; pour le plus grand nombre, elles ne demanderaient qu’à être formées à l’instar des pompiers et secouristes. Les chômeurs pourraient être activés soit temporairement (lors de mise en œuvre de plan de surcharge ou d’urgence tel que la canicule en 2003) ou contractuellement, pour tant que les politiques et l’administration publique engagent les projets d’actions dans ce sens. Je suis pour une remise à plat du monde associatif. Ce dernier pourrait être implémenté d’un dispositif de (SRS) : Solidarité et Réciprocité Sociales, dont l’unité de temps à devoir à la société serait le (DECITEMPS) : DÉCIsion de consacrer du TEMPs Social.

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