D.R.
Créée en juin 2010, la Fédération nationale des Scot a une double casquette : technique et politique. Reproduisant le binôme qui existe sur le terrain, elle réunit à la fois les techniciens et les élus. Elle organise des rencontres et met de nombreux outils à disposition de ses adhérents.
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La FédéScot a pris la suite du club des Scot, structure qui réunissait les techniciens en charge de ces schémas de cohérence territoriale, en l’étendant au politique.
Aujourd’hui, le club technique comprend vingt-cinq directeurs de Scot désignés par leurs pairs. Le conseil d’administration, quant à lui, compte vingt élus, présidé par Michel Heinrich, président du Scot Vosges centrales.
Deux tiers des Scot du territoire
À ce jour, la fédération réunit 275 structures porteuses (EPCI, syndicats, pays, PNR) soit environ les deux tiers des Scot existants. Elle s’adresse aussi bien aux territoires urbains, que périurbains ou ruraux.
Le Scot le plus important est celui de Lyon avec 1,3 million d’habitants. Mais peu importe la taille, un Scot est égal à une voix. Le montant de la cotisation en revanche est proportionnel à la population du territoire, sur le principe d’un centime d’euro par habitant. Cependant, des plafonds sont fixés : le minimum est à 300 euros et le maximum à 4 000 euros.
Outre les cotisations, le budget de la fédération repose à 15 % sur un partenariat passé avec le ministère du Logement et de ...