À Naillat, dans la Creuse, comme dans une quarantaine de communes en France, l’heure est à l’expectative : « Que va devenir notre Villa Family avec la mise en liquidation judiciaire de Capmarine (NDLR : en date du 28 juillet 2010), la société gestionnaire ? La commune va-t-elle devoir mettre la main à la poche ? », se demande Jeannine Gillet, maire de Naillat.
Si elle ne cache pas son inquiétude, l’élue reconnaît être, dans l’affaire, largement moins mal lotie que son voisin Jean-Claude Aurousseau, maire de Genouillac, qui doit, lui, trouver le moyen de faire face à une dette de 105.000 euros. « En 2004, au moment de la construction des maisons, l’ancienne équipe municipale a accepté de se porter caution solidaire de l’emprunt contracté par Capmarine. Or, les remboursements ne sont plus ...
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