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Personnes âgées

Aide à domicile : financée à 80% par les départements et sans subvention de la part de l’Etat

Publié le 22/09/2010 • Par avec l'AFP Virginie Fauvel • dans : Actu expert santé social, France

L'aide à domicile aux personnes âgées, actuellement en difficulté financière, ne peut pas bénéficier d'aides directes de l'Etat, a rappelé la secrétaire d'Etat aux aînés, Nora Berra, en ouvrant les premières Assises nationales de l'aide à domicile, le 22 septembre 2010 à Paris.

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Claudy Lebreton, président PS de l’Assemblée des départements de France (ADF) a  rappelé que l’aide à domicile était financée à 80% par les départements.  Evoquant une « réforme de fond » pour régler les difficultés actuelles, il préconise notamment la suppression de la tarification horaire.

Nora Berra  a quant à elle déclarer avoir pleinement conscience des difficultés et des spécificité du secteur avant d’opposer un fin de non-recevoir aux organismes qui souhaitent que les pouvoirs publics mettent en place un fonds urgence pour les aider. « Je le dit et je le répète, ni le contexte des finances publiques, ni les règles de la concurrence ne permettent un engagement sous cette forme », a-t-elle ...

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Commentaires

Aide à domicile : financée à 80% par les départements et sans subvention de la part de l’Etat

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ALIMAS

24/09/2010 05h15

COMMENTAIRE (09A170A01). SI VOUS N’AVEZ PAS LES RESSOURCES DE VOS BESOINS, C’EST LA GALÈRE À DOMICILE. Je pense qu’aujourd’hui, il est fait un amalgame entre les «aides à la personne à domicile» pour personnes ne pouvant pas temporairement ou définitivement se débrouiller seules et les «aides financières en institution». Lorsqu’une personne en milieu institutionnel (maison de retraite, hôpital long séjour et autres), est confrontée à des problèmes de ressources financières pour payer ses frais d’entretien et d’hôtellerie, elle peut faire appel à l’ «obligation alimentaire» qui lui ait due légalement par les personnes de sa famille directe. Ces personnes peuvent être contraintes par le juge des familles à honorer cette obligation comme «obligés alimentaires». Dans ce cas, le jugement prévoit la part de chacun en fonction de leurs capacités financières réelles ou différées. Si l’ensemble des contributions ne parvient pas à couvrir les dépenses, l’institution peut engager une procédure de prise en charge par le département, sous condition de récupération au centime près sur l’héritage et patrimoine du bénéficiaire, après son décès. Vous comprendrez donc que les «aides financières à domicile» non récupérables ne font pas l’affaire des organismes chargés de les attribuer (aujourd’hui les Départements), d’autant que la procédure d’obligation alimentaire est très complexe à engager, en dehors des institutions. Cela rappelé, la prise en charge institutionnelle de personnes n’ayant aucune ressource ni patrimoine est aujourd’hui assurée pour certains, pour raccorder avec le principe d’égalité. Ce qui d’ailleurs rend cette procédure parfaitement injuste et inéquitable pour les proches, car ils seront spoliés d’héritage qui leur est naturellement dû. Tout çà pour vous faire comprendre la raison pour laquelle, les Départements rechignent de façon importante, leur contribution financière au véritable coût horaire des aides à domicile. Conclusion : Si vous n’avez pas les ressources de vos besoins, c’est la galère à domicile !

COMMENTAIRE (09A170A02). CA NE SE BOUSCULE PAS AU PORTILLON ! Trois millions de chômeurs et des employeurs qui ne trouvent pas de travailleurs ! «Pour postuler, pas besoin de diplôme !» ATTENTION DANGER ! Les sociétés offrant des emplois d’aides à domicile, vont créer dans les mois et les années qui viennent, des modes de recrutement préjudiciables à la qualité des compétences et services attendus. Ce type de services, loin d’attirer les travailleurs de qualité, va au contraire laisser sous-entendre que ces emplois sont possibles pour ceux, et ils sont nombreux, qui n’ayant pas de diplômes «donc» pas de savoirs intellectuels (mais peuvent avoir des savoir-faire manuels), peuvent être employables et corvéables à merci et peu payés ! Les sociétés fonctionnant souvent sous le statut associatif, devraient organiser et rechercher des personnes compétentes et désireuses de se former à tout ce qui améliore la qualité d’une vie et pas uniquement le recul de la mort. Les seniors ne sont plus dans l’acquisition. Ils sont dans la recherche du bien être et du bien vivre. Beaucoup sont prêt à rémunérer correctement les compétences et services rendus. Les emplois d’aide à la personne sont une sérieuse alternative au chômage pour tous y compris pour ceux qui ont des diplômes.

COMMENTAIRE (09A170A03). DUPLICATION D’UN COMMENTAIRE (04E009B13), suite à des dépots de bilan de sociétés d’aides à domicile. La vérité ! Les réactions de colère des aides à domicile et des usagers sont légitimes devant tant d’incompréhension … Pour autant, les raisons objectives et inexcusables de cette situation existent. Elles étaient connues, étaient inscrites et rien n’a été fait. Dans cette triste histoire, la question de la responsabilité des gouvernements successifs en matière de politique d’aide à domicile et de prise en charge des personnes âgées et handicapées est clairement posée. L’ (ASSAD 77), issue de Famille Rurale, en est une victime directe. Comme l’ (ADAR) de Lille, liquidée en juillet dernier (350 salariés) et comme les fermetures à venir si rien n’est fait. L’aide à domicile est placée réglementairement sous la compétence du Conseil général qui fixe un tarif horaire pour les services. Pourtant les associations ne sont pas autorisées à facturer à hauteur de ce tarif reconnu par les pouvoirs publics et les caisses de retraite. L’ (ASSAD 77) travaillait donc à perte et perdait ainsi 3 € par heure d’activité soit près de 1.200.000 € par an … Pour compenser ce manque à gagner elle devait chercher des subventions municipales. Seules 25 % des communes versaient une subvention estimant que ce n’est pas de leur compétence et qu’elles n’en ont pas les moyens. Elles ont malheureusement raison. Nous sommes à ce jour dans un marché de dupe. La vraie question est de savoir si l’on veut une vraie politique d’aide à domicile dans ce pays et qui paiera ? A l’examen des événements (fermeture de services, politique d’aide à la personne au détriment de l’aide aux institutions, financement par (CESU), et par un mode assurantiel privé …). Nous avons la réponse des politiques : Vous, nous les citoyens et usagers … Il aura fallu 490 salariés licenciés pour que l’aide à domicile devienne une préoccupation. Top tard. Le tribunal n’a fait que pointer l’insuffisance des pouvoirs publics à régler ce «problème». On désigne un médiateur pour des entreprise de 400 salariés qui contestent leur licenciement et bloquent un aéroport … (je sais on est un c….). Maintenant des solutions existent dans un secteur, parait-il en plein développement. Pour éviter une rupture de prise en charge et redonner du travail à 490 salariés qui en ont besoin, je ne doute pas quelles seront enfin mise en place mais que de gâchis … Je ne sais plus qui à écrit que le niveau de civilisation d’une société peut se mesurer au traitement qu’elle fait de ses vieux et de la vieillesse … Je vous laisse juge pour moi ce niveau régresse dramatiquement …

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