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Selon le Syndicat de l’éclairage, "les Français associent de manière écrasante l'éclairage public de leur commune à la sécurité des personnes et des biens". Il cite des exemples de villes où l'extinction nocturne aurait entraîné des "situations à risque". Qu'en est-il réellement sur le terrain ? Enquête auprès de ces villes montrées du doigt comme mauvais exemples.
Ma Gazette
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72 % des Français seraient satisfaits de l’éclairage public. Tel est du moins ce qui ressort d’un récent sondage Ipsos réalisé pour le Syndicat de l’éclairage (1), intitulé « Les Français et l’éclairage public ». Selon le document, ce sentiment serait accentué chez les plus de 60 ans (76 %) et dans les grandes villes (78 %). Une minorité estimerait qu’il est insuffisant (16 %) ou au contraire trop important (8 %). Et pas moins de 91% des sondés soulignent son rôle « pour renforcer les conditions de sécurité le soir et la nuit ».
Enfin, selon le Syndicat de l’éclairage, « plusieurs exemples récents, à Lisieux ou à Tulle, démontrent que des décisions d’extinction , prises sans réelle concertation, peuvent entraîner des situations à risque pour certaines personnes ».
La vision corrézienne
« A risque » ? Et « sans réelle concertation » ? Vraiment ? Pas si sûr, si l’on regarde du côté des ...
Une omission d’importance dans mon message :
ce programme associe une association de protection de la nature au Syndicat départemental de l’énergie.(SIEL)