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L’Onema organisait avec les agences de l’eau et le ministère de l’Écologie, le 3 février 2015, un séminaire « Eau et climat » réunissant élus et scientifiques. Une première visant à améliorer le dialogue science/politique et à mieux intégrer les problématiques de l’eau dans les négociations de la COP21.
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Aussi curieux que cela paraisse, l’eau n’occupe pas une place importante dans les négociations internationales sur le climat. Elle est pourtant touchée en priorité par le bouleversement climatique : quantité, qualité, événements extrêmes, autant de sujets qu’il est urgent d’étudier et d’anticiper.
C’est pour répondre à cette priorité que l’Onema et les agences de l’eau, en lien avec le Partenariat français pour l’eau dont ils font partie, ont imaginé une rencontre inédite. « L’idée a germé lors de la Semaine mondiale de l’eau 2013. Nous avons pensé que réunir élus et scientifiques permettrait d’améliorer la compréhension des uns et des autres sur les enjeux liés à cette question », se souvient Frédérique Martini, de la direction de l’action scientifique et technique de l’Onema, qui a piloté le projet. Ainsi est né le premier séminaire « Eau et climat : comment se parlent scientifiques et politiques pour agir ? », organisé le 3 février 2015 à Paris.