Concentrer les crédits sur une cible prioritaire pour un effet maximal. Telle est, résumée, la logique adoptée par le Centre national du livre (CNL) pour sa politique en faveur des bibliothèques.
Cette enveloppe, maintenue à un million d’euros pour 2015, a été réorientée là où cette somme « suffit à faire un effet levier », argumente Vincent Monadé, le président de l’établissement public.
Droit à lire – En l’occurrence, priorité est désormais donnée aux publics dits « empêchés » : personnes hospitalisées, incarcérées, handicapées. Autant de catégories de population auprès desquelles interviennent de nombreuses bibliothèques, par le biais de partenariats avec les hôpitaux, l’administration pénitentiaire, les établissements et associations en charge du handicap.
« Ce n’est pas parce qu’on est malade, en prison, ou qu’on souffre d’un handicap que l’on perd son droit à lire », plaide Vincent Monadé.
A ces publics prioritaires, le CNL ajoute les habitants des communes rurales éloignées ...
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Santé Social
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Santé Social pendant 15 jours
J’en profiteRéférences
- Restez informé de l'actualité des politiques culturelles, inscrivez-vous à la Newsletter Culture de la Gazette
Cet article est en relation avec le dossier
Thèmes abordés