« J’adhère à cette réforme sur le fond, car il fallait réparer l’erreur de 2008, mais elle pose un vrai problème de méthode, le gouvernement n’en a pas du tout mesuré les conséquences », lance Yves-Michel Dahoui, maire-adjoint à l’Education de Besançon.
Interviewé par la Gazette des communes au sujet des conclusions de l’enquête-flash de l’Association des maires des grandes villes de France AMGVF sur l’application de la réforme des rythmes scolaires dans les grandes villes, cet élu local adhère aussi aux conclusions de l’étude.
A quelques jours du Congrès des maires, où on attend la ministre de l’Education nationale Najat Vallaut-Belkacem, les réponses fournies par 22 grandes villes tracent en effet un tableau peu glorieux de l’entrée en vigueur de la réforme dans les plus grandes agglomérations (1).
Un surcoût de 2 millions d’euros – Aux dires des 22 villes répondantes, la moyenne du surcoût se situe à 3 millions d’euros, après déduction des aides du fonds d’amorçage, des ...
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