« Le premier jugement du tribunal de Rouen m’a agréablement surpris, mais pas le second. Le préfet disposait de trois personnes pour défendre sa position, c’est le pot de fer contre le pot de terre », avance Jean-Marie Crochemore, maire (DVD) de Ganzeville (Seine Maritime, 473 hab.). La petite commune normande avait défrayé la chronique lors de la rentrée scolaire.
S’inscrivant dans la lignée des maires frondeurs, le maire a maintenu l’école du village fermée le mercredi matin. Or, contrairement à d’autres élus opposés à la réforme des rythmes scolaires qui ont pris des mesures similaires, son arrêté n’a pas été suspendu – au contraire, le tribunal administratif de Rouen a rejeté la requête du préfet. Coup de tonnerre dans le Landerneau des opposants à la réforme ! Y’aurait-il donc un espoir ?
Las, une semaine plus tard, le même tribunal administratif enjoint au maire d’ouvrir son école.
Deux raisonnements des juges administratifs – Que comprendre ? A dire vrai, les arguties ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Éducation et vie scolaire
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Education et Vie scolaire pendant 15 jours
J’en profiteCet article est en relation avec le dossier
Domaines juridiques