«C’est une réforme pour les grandes villes et les villes riches. Que peuvent faire les petites communes sans centre de loisirs ? C’est une démission de l’Etat sans précédent », tonne Nicolas Dupont-Aignan, maire (DLR) de Yerres (28 900 hab., Essonne).
Tous les ingrédients d’une rentrée scolaire mouvementée étaient réunis : appel à la grève des syndicats enseignants CGT, FO et SUD, appel du SNUIPP à ne pas assurer les activités pédagogiques complémentaires, appel au boycott du mercredi matin par les « Gilets jaunes » (mouvement de parents opposés à la réforme des rythmes).
Fièvre circonscrite – D’irréductibles élus ont posé des cadenas sur les grilles des écoles à Yerres, enlevé des poignées de porte à Saint-Médard-en-Forez (1 000 hab., Loire), délivré de faux horaires aux parents à Billy- Montigny (8 200 hab., Pas-de-Calais), ou refusé de faire travailler les agents le mercredi à Levallois-Perret (64 600 hab., Hauts-de-Seine).
Marseille (857 600 ...
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