« Nous sommes plutôt rassurés et confiants sur le calendrier de la réforme, car les communes devront prendre leur décision pour mars et non février », se réjouit Pierre-Alain Roiron, de la commission Education de l’Association des maires de France.
Mais qui aura accès au fonds d’amorce de 250 millions d’euros destiné à encourager les collectivités locales à appliquer la réforme des rythmes dès la rentrée 2013, comme l’avait annoncé François Hollande lors du Congrès des maires ?
Dans un communiqué de presse du 14 décembre, l’Anem tape du poing sur la table. Ses représentants ont ainsi « rejeté tout scénario aboutissant à une véritable OPA de collectivités riches sur le fonds de 250 millions, annoncé pour 2013, afin d’accompagner le changement des rythmes scolaires. Les élus de la montagne ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Éducation et vie scolaire
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Education et Vie scolaire pendant 15 jours
J’en profiteThèmes abordés