La Croix-Rouge signale que des départements hier épargnés, comme les Hautes-Pyrénées, la Marne et le Loiret, se retrouvent cette année sous-tension. « Nos structures voient arriver, en nombre, des demandeurs d’asile ou des familles, d’origines bulgares ou roumaines, qui ont été expulsées de leur campement. Des populations que l’on pense, à tort, concentrées sur la région parisienne », décrit Didier Piard, directeur de l’action sociale à la Croix-Rouge française. Même constat de la Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale (Fnars) : « Nous ressentons une pression, inédite, sur des territoires ruraux qui ne disposent pas de structures adaptées. Dans le Gers, une de nos structures adhérentes a dû bricoler des logements en utilisant des caravane ...
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