Ce 4 septembre, ce sont deux France qui font leur rentrée des classes. D’un côté, celle des communes qui se sont jetées dans la brèche ouverte par le décret du 27 juin 2017 permettant le retour à la semaine de quatre jours, essentiellement rurales ; de l’autre, les plus grandes villes qui n’ont pas eu la possibilité matérielle de réfléchir à la remise à plat de l’organisation des temps périscolaires, que ce soit pour opter pour le statu quo ou pour modifier leur organisation.
Une tendance qui pose une fois de plus la question des inégalités territoriales, sous couvert de laisser la liberté de choix d’organisation aux élus locaux.
- Une rentrée scolaire sous le signe assumé du pragmatisme
Au total, un tiers des communes, représentant un peu plus du quart des élèves, vont changer de rythme, à ...
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