Haro sur les « conseils d’étateux fâchés avec le sens commun » ! Feu sur les « mini-Colbert qui regardent l’Etat comme leur fief propre » ! Au diable, les « 1 200 exceptions » au nouveau principe selon lequel le silence de l’administration vaut acceptation ! Au rebut, la réforme « uniforme » des rythmes scolaires qui refroidit des « enthousiasmes » pourtant « prêts à bondir » !
Les philippiques d’Alexandre Jardin ne pouvaient que séduire les collectifs de « maires en colère » qui fleurissent ces derniers mois. Cela tombe bien car, pour l’écrivain, le salut passe par « la République d’en bas ». Et, en particulier, par les maires, ces élus « à portée de baffes », ces « faizeux » qui ne supportent plus « les dizeux ». Un message reçu cinq sur cinq. Bleu-Blanc-Zèbre, le mouvement d’Alexandre Jardin, fait un malheur parmi les élus locaux ulcérés, comme lui, par « les bureaucrates hors-sol » et « les normes proliférantes ».
Lune de miel avec l’AMF
Lors d’un colloque organisé le 28 mai 2014, au ...
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