« Une école qui élève, c’est une société qui grandit », « l’avenir d’un pays s’écrit dans les cahiers de ses élèves »; « personne ne doit être laissé au bord du chemin » : en ouvrant la traditionnelle conférence de presse de rentrée, mercredi 27 août 2025 à Paris, la ministre de l’Education nationale, Elisabeth Borne, a, derrière de généreuses intentions que d’aucuns qualifieront d’éléments de langage, reconnu que le futur était incertain à douze jours du vote de confiance qui scellera le sort du gouvernement auquel elle appartient. Elle a, malgré cela, affiché une détermination tranchant avec la résignation de l’une de celles qui l’ont précédée rue de Grenelle : un an plus tôt jour pour jour, elle aussi en sursis, Nicole Belloubet avait déclaré son « envie de continuer », mais tout en ...
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Gazette des Communes, Club Éducation et vie scolaire
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