Entre 2010 et 2024, la natalité a baissé de 21% selon l’Insee (172 000 naissances en moins par an). Selon les projections de l’Insee, cette chute va perdurer jusqu’en 2030 pour atteindre 600 000 naissances par an et ensuite repartir à la hausse. Par conséquent, selon le scénario de fécondité basse de l’Insee recalé en 2024, l’année 2034 devrait être marquée par une perte de 1,7 millions d’élèves de primaire comparé à 2015. L’Institut des politiques publiques ( IPP) s’est intéressé aux effets de cette baisse démographique sur les effectifs scolaires.
Réduire les effectifs d’enseignants ou améliorer les conditions d’enseignement ?
Face à ce phénomène, les politiques publiques doivent réévaluer le besoin de classes et d’enseignants dans un cadre de ...
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Gazette des Communes, Club Éducation et vie scolaire
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