Au 30 juin, un nouveau cahier des charges s’imposera à tous les Saad qui proposaient, jusqu’ici, leur assistance au quotidien des personnes âgées ou handicapées. Depuis 2023, ces structures sont déjà censées s’être transformées en SAD. Mais il leur reste à se conformer à ce nouveau modèle. Au risque de perdre, ni plus ni moins, leur autorisation d’exercer.
La menace pèse notamment sur les CCAS et CIAS, puisqu’ils seraient aujourd’hui près d’un tiers à proposer ces services de ménage, de toilette ou de portage de repas. « Et la réforme se fait à marche forcée, pour des services déjà en difficultés de ressources humaines et aux fortes contraintes budgétaires », regrette Hélène-Sophie Mesnage, déléguée générale adjointe de l’Unccas.
Renforcer la qualité
Or, le cahier des charges des SAD ...
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Gazette des Communes, Club Santé Social
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