De Sémalens (2 000 hab., Tarn) à Montpellier (307 100 hab.) en passant par Chemillé-en-Anjou (21 600 hab., Maine-et-Loire), nombreuses sont les communes à avoir lancé, ces dernières semaines, des complémentaires santé de groupe à destination des habitants ou salariés de leur territoire. Contrairement à ce que leur nom peut laisser entendre, les « mutuelles communales » ne consistent pas, pour les collectivités, à financer le dispositif, ni même à en assurer l’ingénierie ou, encore moins, la commercialisation.
Via des courtiers ou des conventions de partenariat, des niveaux de garanties et de tarifs sont négociés auprès de groupes mutualistes ou d’assureurs pour faire profiter les habitants de conditions plus favorables que celles du marché. Souvent, les tarifs sont de 25 à 30 % moins ...
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Santé Social
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Santé Social pendant 15 jours
J’en profiteThèmes abordés