A Treillières (2 230 hab., Loire-Atlantique), en marge de la cour goudronnée de l’école périurbaine Alexandre Vincent, derrière une haie arborée, s’étire un espace enherbé, un peu isolé des cris et de l’agitation des quelques quatre cents élèves. On entre dans ce jardin par l’extrémité la plus policée : herbe tondue, tout petit bassin d’un mètre sur deux, parfait pour les maternelles.
Déjà, dans cette micro zone humide, on peut observer, en ce mois de mai, des libellules, des invertébrés aquatiques et même un triton palmé ! Le résultat d’une « lutte » de plusieurs années, selon l’ex-directeur, Jean-Pierre Grimaud : « j’ai traité directement avec le maire car cela tournait en rond ».
Au fur et à mesure que l’on progresse sur le chemin défriché, les herbes hautes envahissent l’espace tout ...
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