Renouer le contact avec des jeunes à la rue, en leur proposant des petits travaux rémunérés, c’est l’objectif puissant de Tapaj (1). Il s’agit d’une structure nationale qui existe depuis 2018 avec des déclinaisons régionales et qui est reconnue et financée par les pouvoirs publics dans le cadre de la Stratégie nationale de prévention et lutte contre la pauvreté. Localement, le dispositif est obligatoirement porté par des CSAPA ou des CAARUD, qui travaillent en étroite collaboration avec les acteurs médicaux et sociaux de terrain, comme les CCAS.
Le dispositif qui manquait
« Sur le terrain, on n’avait pas de dispositif pour les moins de 25 ans à la rue et en situation d’addiction, explique Samia Hoggas, directrice adjointe de l’ (2). Tapaj a ajouté la brique qui nous manquait ici en ...
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