Lille compte environ 70 ambassadeurs santé, essentiellement des femmes. Elles ont entre 40 et 50 ans, n’ont pas toujours un emploi, et résident dans les quartiers « politique de la ville » (QPV), explique Frédéric Agostini, directeur des solidarités et de la santé et du CCAS de Lille. Les Pôles ressources santé (PRS) de ces quartiers, des structures associatives locales ayant pour vocation d’accompagner les habitants dans leurs démarches en matière de santé, animent et coordonnent les groupes d’ambassadrices. Elles-mêmes ont deux missions. La première consiste, à partir de leurs rencontres et de leurs échanges informels quotidiens avec leurs voisins et leurs proches, à identifier les besoins des usagers pour déterminer les thématiques qui pourraient faire l’objet ...
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