L’évocation à demi-mots, lors de moments d’échanges informels, de la prostitution par des adolescents comme « quelque chose de banal, un moyen de pouvoir s’acheter des vêtements, des chaussures, une manière de saisir une occasion qui se présente » a marqué Marie-Thérèse Lucas, première adjointe au maire de Romilly chargée de l’éducation, de l’enfance et de la jeunesse et de la santé. Aurore Toka, directrice du CCAS de la ville, a aussi constaté une forme de désinhibition sur le sujet, de « banalisation de certaines situations ayant trait au corps ».
Elles ont déclenché la démarche : le CISPD de la communauté de communes et le CCAS ont mis des budgets en commun pour solliciter une artiste vidéaste afin qu’elle réalise un documentaire sur la prostitution ...
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