Tenay comptait plus de 4 000 habitants à la fin du XIXe siècle, à l’heure de l’industrie textile florissante… contre 1 000 aujourd’hui. Le village a « 22,5 % de logements anciens vacants. La plupart ne correspondent plus aux standards d’aujourd’hui… certains sont insalubres et loués par des marchands de sommeil », raconte le maire Gaël Allain. Que faire ? « Diminuer l’offre pour augmenter la qualité », assure-t-il.
Plus d’une centaine de logements ont déjà été détruits lors des mandats précédents, par exemple à la cité Cleyzeau en 1989-1990, et aux deux entrées de bourg lors la mise en place de la déviation en 1998. Ces démolitions-reconstructions s’accélèrent aujourd’hui, boostées par une demande pour des logements de qualité.
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