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L'activité viticole engendre des effluents chargés en matières organiques en période de vendanges, parfois rejetés dans le milieu naturel (mais c'est interdit), traités sur place ou en station d'épuration. Dans ce dernier cas, des conventions de rejet sont bienvenues pour améliorer le traitement.
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Les activités des chais produisent des rejets viticoles fluctuants. La période de mi-août à novembre est très critique… au moment de l’étiage des eaux. Lors des vendanges, on trouve des matières en suspension et surtout de la matière organique venant du lavage et du nettoyage des outils et équipements : « dépôts de raisins, feuilles, rafles, chargés en sucre impactent les systèmes d’épuration », assure Julia Bréchet, directrice du syndicat mixte des eaux de la région Rhône-Ventoux (SMERRV, Vaucluse). Pendant le soutirage (étape de séparation du vin clarifié), ce sont les lies (levures mortes), issues du nettoyage des cuves ...