Le CNR logement, puis le second volet du plan « logement d’abord » ont déçu. Le premier ne propose que des « sparadraps », comme le renforcement de la garantie Visale pour les locataires sans garant ou l’investissement dans le logement intermédiaire. Le second reste peu ambitieux et marque la disparition des objectifs de production de logements très sociaux (40 000 par an, dans l’ancien plan, objectif jamais atteint). « C’est une bombe à retardement qui explose petit à petit, qui est déjà là », a commenté Manuel Domergue, directeur des études à la Fondation Abbé-Pierre (FAP).
Des besoins en forte augmentation
A la pénurie de logements s’ajoutent les difficultés dans le secteur de l’hébergement. En dépit d’un nombre de places élevé (205 000 à l’heure actuelle), celui ...
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Gazette des Communes, Club Santé Social
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