Certains accords locaux, dont des « protocoles service minimum », permettent d’assurer les services essentiels, comme la collecte des déchets.
Ataly / AdobeStock
L’ambition de réduire de 15 % notre production de déchets ménagers à l’horizon 2030 paraît bien compromise, à la lecture du dernier rapport de la Cour des comptes consacré au sujet. Publié mardi 27 septembre, ce document liste les faiblesses persistantes du service public de gestion des déchets et propose neuf recommandations pour davantage s’inscrire dans l’économie circulaire.
Ma Gazette
Sélectionnez ce thème et créez votre newsletter personnalisée
C’était il y a onze ans. La Cour des comptes publiait un rapport thématique consacré aux politiques publiques de prévention et de gestion des déchets, à l’échelon national comme à l’échelon local. Et le constat était sévère. Depuis, le cadre législatif et réglementaire français a été remanié afin d’instaurer une économie circulaire.
Mais, dans un rapport consacré à la même thématique, publié mardi 27 septembre, les sages de la rue Cambon regrettent que les insuffisances relevées en 2011 « restent d’actualité ». Certes, la production de déchets ...
Le frein à la tarification incitative n’est pas celui soulevé par l’article (je n’ai pas lu le rapport) mais bien celui soulevé par les collectivités elles-mêmes, que l’État (et surtout Bercy!) refuse d’entendre quand elles demandent de la flexibilité et de la modularité sur ce sujet.