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C’était l’épreuve du feu pour les 900 communautés de communes appelées à s’emparer avant le 31 mars 2021 d’une nouvelle compétence : l’organisation de la mobilité sur leur territoire qui manque d’alternatives à la voiture individuelle. L’enquête lancée le 1er avril par l’Association des communautés de France (ADCF) révèle que seule la moitié ont décidé de se jeter à l’eau.
Devenir ou non autorité organisatrice de la mobilité (AOM) sur leur territoire ? Pour 54% des 218 premières intercommunalités (sur 900) qui ont répondu à l’Association des communautés de France (ADCF), c’est oui (1). Pour l’autre moitié, c’est donc non.
L’enquête lancée par l’association le 1er avril, au lendemain de la date butoir fixée par la loi d’orientation des mobilités, est toujours en cours. Mais les premières réponses livrent quelques tendances intéressantes et montrent combien les élus des communautés de communes sont tiraillés.
Feuille blanche
Ceux qui ont voté pour que leur collectivité devienne ...
Bonjour,
N’y a-t-il pas une erreur concernant la Bretagne car selon le site de l’ADCF : « Toutefois, le graphique suivant souligne cependant d’assez fortes disparités d’une région à l’autre dans les décisions prises par les communautés de communes. Ainsi, dans cinq régions, plus de 80 % des intercommunalités étaient déjà compétentes ou ont décidé de prendre cette compétence, dont la Bretagne (100 %), les Pays de la Loire (93 %), la Normandie (91 %). A l’inverse, la région Occitanie (96 %) et la région Centre-Val de Loire (82 %) présentent ainsi les taux les plus élevés de non prise de compétence. » Merci